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loeilimmobile
20 septembre 2010

A est là. Il est là le A du début! Alors, Alpha

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A est là. Il est là le A du début! Alors, Alpha allume un autre alphabet. Je suis las j’ai mal aux doigts, mais je dois ; après je pourrais tomber, me casser, J’écoute Des musiques débiles, des décibels. Des si belles musiques étourdissantes, et je lis des écrits érudits. De la Folie à la flemme la flamme s’éteint. Elle comme une aile, j’aime, j’haine et voir le haut et tomber dans l’eau ; Que faire que dire ! Le serpent sournois est sombre et sinistre. Saveur suave, gout du sang ou blessure. Je suis tombé il est tard : tentation ? Viens ! Je vais venir ! !je reviens. Je dévisage ton visage ... Mais je ne sais plus la fin Et je relis et je m’assure Et je sais Bien Comment Depuis Est ma Folie Grande à toute Heure. Inouï ce Jardin rempli de Kiwis!!!!!!!!!!!!!! Lignes Magiques Numéros Oubliés Peut être Qu'ils Reviendront Simple Tentation Ultime Vérité Mon arrêt sur image ; momentané Mon absinthe, sainte Mona Lisa Joconde de mon alphabet. Mon absolu besoin comme une aberration. Mon ascendant, mon accent aigu comme une pointe de lame, une âme indescriptible. Mon, mais pas à moi, monastique pensée, doux moments de tourments Pourquoi écrire mon pour écrire ton absence. J’ai décliné un alphabet sans penser sans arrière pensée. Avoir attendu, alterné amour amitié, absolu avenir. Arrêté à l’aube, accentué des axes et des accès impossibles, alors… Avec avant après ange haï autre absurdité. Allongé à l’abri, attiré à l’aplomb d’un abime, Amalgame d’âmes abandonnées et Attroupement de cœurs analphabètes. Alors J’ai appris A Aimer.

 

Mon Z MonA … Zoom … Zébu échappé du Zoo. Stop
Zibeline et Zèbre revenus. Stop Au delà de la zone « Zilence ».Stop.
Zeus Zieute le Zodiaque … Zeppelin Poussé par le Zéphyr.
Zazou Zozote Et Zouave Zigzague Accoudé au Zinc, il Zappe : - Un Zombie ,un Zeste de citron !
Remonte le Zip, quelle Zizanie !
Terminaison troisième personne du pluriel …
Un brin rieur, Un peu Zélé Restons Zen…
Un Zirconium brille, Soleil au Zénith Zéro degré Zola lu, Zoé où es tu ?
Treize portes bonheurs ?
MonA de onze à seize Cloé de 5 à 7
Z’ai fini. Mais déjà apparaissait l’alpha …
(Ainsi parla Zarathoustra)

 

Il était l’i grec Venu d’ailleurs Deux bras implorant levés vers le ciel... ;
MonA Mon Y, Mon i grec ?
Yes ? You …. Pas d’inspiration, l’alphabet se traîne Sans fin, sans faim de mots Yoghourt ou Yaourt ?
Juste un parfum d’Yvresse. Epeler des lettres .
MonA je ferais du Yoga ?
Je lirai dans tes Yeux Tu seras le Ying moi le Yang ou l’inverse !
Et Yen qui rime avec Zen
Pourquoi pas un I chinois !
La Yougoslavie n’existe plus Je retourne sous ma Yourte Mona j’écris, je cry, je fais du Yo-yo J’embarque sur mon Yacht, by by … Baby don’t cry Je repars en voyage,
Vers le Yémen, le Yucatan, Chypre ou l’Erythrée.
Que j’aimerai être Yesterday…
Des myriades d’hypothèses, et d’hypothétiques hypoténuses
Hyperboles hybrides ou idylles hystériques ? Hiéroglyphes égyptiennes, J’essaye d’i grec maginer les mots … ! Sans cette lettre rapportée du pays des Hespérides ; MonA, mon Y My MonA …
Ναί, ταῦτα μὲν ἡμῖν ἤγγειλέ τις, καὶ ἐθαυμάζομέν γε ὅτι πάλαι γενομένης αὐτῆς πολλῷ ὕστερον φαίνεται ἀποθανών. Τί οὖν ἦν τοῦτο, ὦ Φαίδων; …Extrait de « Phédon » - Platon

 

Et l’X est devenu croix
MonA Mon X Un extérieur rieur Une explosion intérieure X mais pas inconnue Chromosome X Séraphin exterminateur Venue de la Planète Xénon Petit x abscisse ou ordonnée J’écris dans le tumulte de ton absence. XXL triple x douleurs de l’instant X
Inconnue perpendiculaire à des i grecs lambdas et omégas
Des signes en fin d’alphabet Des lettres extrêmes des morts frôlées
Des fins déterminées, des vies terminées Inconnue X, portée disparue et X plus un Repose en Paix.
J’ai frappé des notes sur un Xylophone Un remix explosif et des pixels éclatés et contrôle X et Pluriels particuliers.
Terminaisons : hiboux choux, genoux et poux Et cailloux.
Mon X Extraordinaire Tu peux Tu vois, me faire écrire n’importe quoi
Et ta voix MonA Me parvient dans le bruit de l’alphabet

 

Un Wagon lit …. Roule de Wallonie en Westphalie : Je lis Werther Tu écoutes Wagner.
Nous jouons au Whist
MonA Mon W Ma Walkyrie Ma sorcière du Web Ai- je trop bu de Whisky?
Entre le pays des Wapitis Et celui des Wallabies MonA Ma Wonder-Woman
Est-ce si compliqué De voguer en WWW
Je Wait and Whisper Peut être entendras tu Les Weepers circus …

 

Mon V MonA D'où vient ce vertige Qui vampirise mon âme? Voluptueuse et Vertueuse merveille Vestale , Sur des velours rouge Vésuve Vêtue de voiles vermillon. Un doux duvet virevoltant sous le vent Lové contre ton ventre Je veux Voler des voyages Envoler des valses et Voir sur ton visage
Vaciller des lueurs vermeilles
Mona Mon V Ma vérité
Laisse moi caresser Si tu le veux Tes cheveux. ....

 

Version provisoire, non définitive

 

Mon U MonA De l’urgence de nos corps A l’univers de nos cœurs Usurpatrice de mon âme Es tu une Utopie ou un rêve unique Tout s’est tu MonA ou es tu ? Je t’ai vue T’ai mise à nu J’ai bu tes paroles Tu as lu mon cœur Nous avons su J’ai cru Sans te juger Sans te blesser Sans te garder.

 

MonA, Juste t’apprivoiser Ultime union Pourquoi toi aussi Tu t’es tue ? ...

 

Retour à la case départ c'est blanc partout, froid, feutré et silencieux. Le sillon se creuse mieux dans la neige, le froid cicatrise mais quoi donc me direz vous je ne le sais pas. Un chemin ici, un oiseau ailleurs qui survole des paysages, une oreille qui écoute du bruit, des mélancolies. 20 mois et pause sur image. Le secret a été gardé j'ai du me tromper quelque part, marcher à reculons dans une trace que je croyais effacée. ... Sans te juger, sans te blesser, sans te garder, je ne sais qui du loup qui de la renarde a apprivoisé l'autre... Tu me manques me manqueras. Trois lettres, que je ne peux plus dire. Pour toi MonA. As-tu seulement su que je t'avais baptisée ainsi ...

 

Mon T MonA
A l'attaque du temps Une histoire racontée, en buvant un thé.
Monter, toujours Attaché au fil ténu D'une tapisserie tendue
Toile ou fil d'étoile Monter si haut, dans l'éther
Ne pas tomber sur terre MonA, monter Ton B,  ce sont des mots Mélangés de sons.Lettres ou missives Mi et si notes jouées et écrites
Château hanté De ton nom, de ta beauté
MonA, Mon T Toujours toi Sous mon toit, sous mon aile
C'est l'été tout le temps Avec toi MonA

 

Mon S MonA Source surgie sous un sable soyeux >Mon A Ma sérénité De saison en solstices

 

Tes soupirs, tes suppliques, tes sourires, tes souffrances Des symphonies des Stradivari, Des séismes sidéraux Des secousses sismiques Des sarabandes sautillantes de saltimbanques.Tel un soldat survivant, sentinelle somnolente >J’ai scandé des strophes Dansé au milieu des sorcières >Vu des scintillements saccadés. >Mon A, mon S Tu as suspendu les secondes >De souvenirs stériles en stigmates sanglants J’ai subi les sortilèges d’une souveraine Sage et sacrée. Sans surprise… Tel un Sultan soudoyé j’ai, Souffert des supplices salés et sucrés Mais j’ai fait le serment MonA Mon S De ne jamais soupirer De sourire, de rester sauvage Le serment de garder la soif de toi.

 

Mon R MonA Ma renarde Mon air du temps Air de rien Mon aire de repos MonA Le rouge de ta robe Le rose de tes joues Le rubis de tes lèvres MonA Tu ris MonA je souris Mon rêve Ma réalité

 

La lettre Que Je craignais Qui me faisait peur ! Tu ne seras pas MonA Mon Qui pro Quo Ma question ? Ma querida Andalouse ? Quelle question Qui ? Quoi ? Qui ? MonA Quoi ? Mon Aquarelle

 

 

Mon P MonA Petite princesse Papillon pourpre Posé sur mon épaule Psaume chanté, rhapsodie orchestrée Paroles et musique Poème permanent Les doigts posés sur ta Peau Laisse-moi jouer du Piano.Plume légère que Porte le vent Poussière magique Parsème de ton Parfum subtil des Printemps perpétuels Fait tomber une Pluie de baisers Près de ma bouche Penché Prés de toi ni Poupée ni Pantin MonA Mon P Mon Pays de cocagne, Pieuse image Page pliée Posée sur ma Poitrine. Plaisir Parfait Poussé au paroxysme Parabole et perpendiculairePlaisir particulier et Puissant comme un Paysage peint.MonA Mon P Tu me plais, plais, plais, plais…

 

Mon O MonA Il faut avec un O Que j'écrive à la main A l'ombre de ta peau Avec un O A l'ombre d'un orme Comme un oiseau Au fil de l'eau MonA Mon O Au visage d'opale, si pale Aux yeux d'or, quand tu dors MonA Mon opium Tu me fais voyager de l'occident à l'orient Tu as osé Une offrande obstinée Et j'ai dit oui Sans rien ordonner Et pour ne pas oublier Je t'offrirais MonA Chaque jour un bouquet d'orchidée.

 

Mon N MonA Ma nymphe Nue parmi les nénuphars Tu es née Je suis né du néant J’ai … Noué ta main à la mienne Noué tes nattes brunes Noté les heures noires à l’encre bleue Nommé mille fois ton prénom MonA mon N Je navigue Sur une nef Noyé dans tes yeux Ma naïade, laisse moi être Neptune MonA, mon N Tu as tous les noms Je ne dirai jamais « non » Etoile naine je te ferai grandir En lumière de néon J’écrirai Ton nom Au firmament des novas MonA Des nuages nimbés de nacre Je ferai neiger des nombres d’or Des nectars, Des notes de musique Et ton nom Ton nom Ton nom …

 

Mon M MonA De mille matins merveilleux Aux mille mystères ,minutes magiques et Mille morceaux en mouvement.Mona, ma si mignonne miniature Tu m’as métamorphosé.Les matins mordorés Où chantent les mésanges mélodieuses Musiques et mots mêlés MonA Mon M Méandres de ma main Sur les monts de ton corps Mèches mélangées Le mauve sur tes paupières Mélancolie de ton regard MonA ma muse ,mes mots Mona mon M mon aimée.

 

Mon L Mona Ma louve lointaine Lumière de mes jours Reste sous mon aile Laisse-moi lire Mona les lignes de ta loi Je louvoie à l’ envers Je vois Lou à l’endroit.Mon L majuscule Horizontal et vertical Mon L minuscule à la courbe de ton corps.Le seul mot que je ne veux pas écrire Le seul mot que je ne veux pas lire Un L attaché à une arme Pas de larme, pas d’arme Mona mon L les deux ailes de « elle » Mes deux ailes pour toi Pour te lover entre elles Mona si belle Je cueillerai des airelles Des prunelles, Des litchis exotiques Des lavandes parfumées A la lueur De lustres ou de lampions J’écrirai des livres, des lettres à l’infiniMona mon L Des lettres sur mes lèvres Que je recopierai sur tes lèvres.

 

Mon K MonA A des kilomètres Du sommet du Kilimandjaro Aux chemins de Katmandou Allons nous promener Au pays des kangourous Des koalas câlins Respirer l’eucalyptus. MonA Mon K Tu es ma fée Je serai Korrigan lutin nain de légende Je te dirai des kyrielles de je t’aime Que t’apportera le Khamsin Ce vent chaud venu de Kheops ou de Khephren. Etendus sur des kilims orientaux Je noircirai tes paupières de khôl Je jouerai du koto pour te bercer Je serai ton kidnappeur Je te nourrirai de kumquat et de kiwis Je ferai briller tes yeux comme un kaléidoscope Mona mon K J’apprendrais à dire je t’aime En Khmer, en pékinois dans toutes les langues Même en eskimo Mais dans tous les K Pour toi, Mona, Mon K Un kiss anglais Des « je t’aime » français.

 

Mon J MonA Ma jolie Mona Juste posée Juxtaposée, mon autre moi Pas mon jeu Mona, ma jeunesse Mon jeudi, tous mes jours Ma joie. Mon jardin fleuri de mots Pas besoin de jurer Jour après jour Je sais J’écrirais Jaime sans apostrophe De Janvier à Juillet De Juillet à Janvier Nous écouterons du jazz, Nous irons au Japon MonA Mon J Jambes nues sous ta jupe Sans me justifier Laisse moi poser MonA Ma joue contre ta joue.

 

Mon I MonAMon idéal Mon île Mon ivoire MonA Quand je dis Le I de désir Quand tu cries Le I de plaisir MonA Mon I Je suis le I Tu es le point MonA Mon I Ma vie Mon H MonA Ma chair Ma chaleur Ma bonne humeur Mon horloge Harmonie De mes heures Harpe caressée Au hasard Du hale de ta peauMonA Mon H Mon histoire H aspiré Je ne peux Que t’aimer Avec un grand H

 

Mon G MonA Du bout des doigts Tanguer avec toi Voyager avec toi.MonA Ma géographie Mon G MonA Au goût de mangue Laisse moi goûter Du bout des lèvres Le goût de ta peau La grâce de tes gestes MonA Mon G Je veux te garder Laisse moi te regarder.

 

Mon F MonA Ma fée Mon elfe Mona tu m’as fait MonA Mon feu Ma foi ma soif Vogue comme une nef Vers des fêtes éphémères Nue sans effets Sois folle je serai fier Sois fière je serai fou Fou de désirs défaits De défaites avouées MonA Ma fée J’ai trouve la faille Je suis faible sans toi Sois forte sans moi MonA ma fée tu m’as fait Ma plus grande défaite Serait que tu sois faible

 

Mon Ē MonA Mon nez Je respire à travers toi. Donne-moi des fragrances Subtiles et oniriques ; et Qu'un seul flacon suffise A te retenir Mon A Mon É Mon aimée. Que dire Que rire Tu n'étais pas née Je respirais ton parfum Je serai ton aîné Toi MonA Au parfum de henné.

 

Mon D MonA Mon double A deux le monde est à nous Mon A…. tu es le monde. MonA Mon D Mon dé à gagner Mon dé à jouer Six points noirs Six taches rondes sur tes faces Six points Que rien n'efface Mon dé Une main qui lance L'autre reçoit MonA Mon D Du bout des doigts Je sais ce que je te dois.

 

Mon C MonA Dans C Danser avec toi Danser contre toi Contre ut Contre basse Tango sauvage Bandonéon asynchrone Expiré, exhalé Robe rouge Légère corolle Regard voilé Au delà de l’eau Je te guide Tu me suis Je suis Tu es MonA Mon C Mon B MonA Tombée Je sais Mona, A mes pieds Tu as Cédé Baissé les yeux Vœu pieu réalisé écrite ensemble La Symphonie achevée Silences et soupirs Souffle haché Repos, pause muette Touche effleurée, Lamentamento Point d'orgue Au bout du son Au bout de toi Au bout du moi Je ne peux jouer seul

 

MonA Mon B Je t'apprendrai à vibrer Sous mes doigts. Mon A Mon O Mon I Soit mon eau Je serai le I De ton O Tombé Le haut des bas Mona Mon A Tes bas De bas en haut, Laisse-moi caresser Le haut de tes bas. Ton Dos Adoré Ma Mis Sur un sofa Sur le SOL LA Assis Contre ton Dos Mona Mon adorée Dos à dos Réunis Mi nue mi parée Fabuleuse facétie Sol laminé Lascive offrande Sidéral moment Docile dièse Silencieux bémol Posée sur les lignes Portée en la mineur Opus en crescendo Baguette et orchestre Peau cuivrée Corde tendue Noire, ronde, blanche Notes et croches S'accrochent Sur la peau de ton dos Mona? Mona dorée

 

Ecrit à quatre mains Parce que je ne peux que le dire Que ce soit MonA Que ce soit Lisa Cette musique pour toi. J'avance à pas de loup Pour la jouer A ton l'oreille. MonA Ranger mon cœur Au rythme du tien Sans gène Sans gémir Sans grogner Pour te faire grandir Pour éloigner le danger.

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